«Face à sa nombreuse clientèle classique, en cette période d’après Ramadan et de retour des congés scolaires de fin du deuxième trimestre (2023-2024), l’agence Général Express de Douala-Mbopi visiblement sans bus, fait attendre désespérément ses clients, dont certains sont agressés par des agents comme vient de l’être ce matin du 12 avril 2024 le Directeur de la publication du journal LA VOIX de L’AFRIQUE, Georges Martial Ngalieu».
C’est le désarroi total dans l’agence de Général Express sise à Douala Mboppi. Aucun bus sur place pour assurer le déplacement de nombreux voyageurs en attente. Les clients arrivés depuis l’aube sont toujours installés dans la salle d’attente, prêts à se bousculer chaque fois qu’une rumeur sur la disponibilité des bus leur parvient. A l’extérieur d’autres réclament leurs droits et créent des attroupements laissant ainsi transparaitre les discordes avec les agents de la structure. Ces derniers ne manquent pas de se défendre avec des justifications qui ne semblent pas satisfaire tout le monde. « Il y’ a l’embouteillage, les bus sont en route », déclarent t-ils. « Est-ce normal qu’il n’y a aucun bus disponible ? « s’interrogent les clients. Encore que depuis tout ce temps, la classe VIP embarque. Les bus classiques sont donc les seuls à être coincé dans les embouteillages si l’on s’en tient aux dires des agents.


Quand les plaintes font pression, les agents de l’agence General Express s’en prennent aux clients comme tel est le cas avec le Directeur de la publication du journal LA VOIX DE L’AFRIQUE. Georges Martial Ngalieu détenteur de son titre de transport, à destination de Yaoundé, qui a été agressé par des agents de cette agence pour avoir essayé de comprendre ce qui se passe.
Pendant ce temps les vendeurs ambulants font leurs bonnes affaires, profitant de l’ennuie et de l’agacement de la clientèle.


Obligé de repousser les départs prévus dans la journée, l’agence Général Express très sollicité surtout en cette période d’après la fête de fin de Ramadan et des retours des congés de fin de deuxième trimestre pour sa clientèle des bus classiques…est incapable de gérer la pression et ou le flux de ses clients classiques, malmenés par ses agents.
Nina NGONO (Stagiaire)